- Où t'es tu caché Aimé ? |
Pâtres vous qui allez |
Cherchanr mes amours |
O bosquets, épaisseur du bois |
Mille grâces répendant |
Hélas qui pourra me guérir... ? |
Ne veuille plus m'enoyer |
L'écoute seule demeure |
Et tous ceux-là qui passent... |
Mais comment persévères-tu |
Si le grain ne meurt |
Pourquoi |
Blessée tu m'abandonnes |
Eteins mes tourments |
Les yeux ouverts, il ne voyait rien |
Découvre ta présence, et que ta vue |
A distance et pourtant |
O ! Source cristalline |
Si tu formais soudain |
Paradoxe du désir |
Reviens Colombe |
Car le cerf blessé |
Deux ailes se frôlent |
Mon aimé |
Vous les oiseaux légers |
Par les lyres d'harmonie et le chant des syrènes |
Quitter toute impatience |
Voici que l'épouse |
Tu referas... |
A l'ombre du pommier |
Sous le choc de l'étincelle |
Dans le cellier intérieur |
Là il me donna |
Je ne m'appartiens pas |
Mon âme s'est employée |
De fleurs et d'émeraude |
Je ne suis plus que regard |
La blanche colombe |
En solitude elle vivait |
Pourquoi ne pas penser |
Son commencemnt à lui |
Soyons en joie, Aimé |
Entrons plus avant |
Dans l'épaisseur |
Dans les très hautes cavernes |
Là tu me montrerais |
Cet autre jour tu me donnas l'étoile qi brûle en moi |
L'étoile en moi |
Voici ! le souffle dans la brise |
Car nul ici ne regardait |