Notre communauté élargie aux paroissiens, élèves et amis s’est retrouvée en ce deuxième dimanche de Carême pour prier et célébrer ensemble. La matinée a commencé par un temps d’enseignement du Père Georges Abi Saad (autour du thème de l’épreuve et de la purification du cœur) et s’est prolongée par une méditation en ateliers avec la deuxième lettre de saint Paul aux Corinthiens (2 Cor 4: 7-18).
Comment vivons-nous les épreuves ? Comme nos temps éprouvés nous accablent-ils, nous éprouvent-ils ou nous rendent-ils plus matures, plus patients, plus croyants ? Comment ce temps de Carême peut-il être le moment favorable pour retrouver la confiance, l’espérance, la force et peut-être même la joie ?
Nous parlons de l’épreuve, et essayons tout d’abord de la définir : qu’est-ce que l’épreuve ?
C’est une expérience difficile à tel point qu’elle bascule nos sécurités, renverse nos repères et nous mets face à des choix radicaux.
Nous ne pouvons pas contrôler ni empêcher les épreuves, elles viennent. Mais il relève de notre responsabilité de prendre les bonnes décisions et de poser les bons choix quand elles adviennent.
Parce que l’épreuve peut être un temps de tentation, de déviation de décroissance et peut détruire, elle est difficile.Mais elle peut aussi être une occasion de croissance humaine et spirituelle (d’union à Dieu, de pardon, de miséricorde, de solidarité, de fraternité, etc.)
Il y a des épreuves qui viennent de l’extérieur et qui se situent sur le plan social, politique, ecclésial, ou familial… Et des épreuves intérieures ou personnelles comme la maladie, la sécheresse, etc.
Avec Dieu la croissance est possible…
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