« Ce livre ressemble à un mouvement d’humeur (donc réjouissant à lire) mais il est beaucoup plus que ça (donc intéressant à lire). C’est un vibrant plaidoyer — très historiquement, bibliquement et théologiquement fondé — pour une Eglise « nazaréenne » comme l’était Jésus, c’est-à-dire faible, minoritaire, proche du peuple et à l’écoute !
Tant que nous n’aurons pas compris et accepté que Jésus ne consent au titre de roi que sur la croix, au moment de son « non-pouvoir absolu », nous ne vivrons pas un christianisme de conviction et d’engagement mais un christianisme socio-culturel de confort ou d’accommodement. Nous passerons alors notre temps à tenter inutilement de mettre la lumière sous le boisseau pour qu’elle ne dérange personne !
Mais heureusement — et Gui Lauraire nous l’a prouvé par maints exemples – on ne peut pas enterrer la lumière ….
LMG / Grabels, 13 avril 2015
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