Nous tenir entre le Père et le Fils nous place en plein courant d’air de l’Esprit. C’est lui qui nous ouvre au sens ; il nous donne de prendre conscience de la réalité du péché dans notre vie, comme pour Pierre (Luc 5,5-8 et 22, 60-62).
Il nous révèle la qualité du Fils à travers son passage vers le Père, comme pour le centurion (Matthieu 27,54 et Marc 23, 47-48).
Il nous dévoile le mensonge du prince de ce monde, l’adversaire qui se donne pour tout puissant, comme aux soixante-douze (Luc 10,18-19).
Appelons ardemment le souffle du Paraclet.
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