Une parole qui peut nous ébranler aujourd’hui en ces temps difficiles d’épidémie que nous traversons au niveau mondial.
Au milieu de la tempête d’angoisse et de peur de la mort, l’homme se presse pour sauver la vie à tout prix : médecine, prises de précaution, recherche de vaccin… Tout cela est justifiable, mais le Seigneur semble interpeller notre foi aujourd’hui. Ma foi est mise à l’épreuve. Elle est purifiée dans le feu de l’Amour.
Croire va bien au-delà des signes et des prodiges. Certains pensent que le Seigneur nous a abandonné, oublié, surtout à la vue des centaines de morts que ravage cette épidémie, surtout en Italie. Je pense qu’il est temps de crier notre foi plus haut, une foi basée non sur des preuves palpables, mais sur l’Amour de Celui qui est Vivant, présent plus que jamais au cœur de la souffrance de nos frères et sœurs.
« Va, ton fils est vivant » (50)
Il s’agit pour nous aujourd’hui de revoir le poids et l’intensité de notre vie donnée au Seigneur et à nos frères. Quand la mort semble menacer, elle nous éveille et nous accule à nous regarder en face et savoir si nous sommes prêts pour le face à face.
Le fruit de la foi en Jésus Ressuscité c’est la paix, puissions-nous la demander et la répandre autour de nous comme l’eau en plein désert.
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