Les Pharisiens représentent cette part de notre humanité qui regarde avec un regard étroit, divisant les gens en deux catégories : les bons et les méchants, les justes et les pécheurs ; la deuxième catégorie étant considérée comme irrécupérable (v1-2), cause perdue.
Or la joie de Dieu éclate lorsque ce qui était perdu, est retrouvé (v6.9). Impossible de se réjouir seul. La Joie invite d’autres à se réjouir : ami(e)s, voisins/voisines, ciel, anges (v 6.7.9.10). Entrerons-nous dans la joie de notre Seigneur ?
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