« Entende, qui a des oreilles. »
« Est-il permis, le Sabbat, de faire le bien plutôt que de faire le mal, de sauver une vie plutôt que de la perdre ? » (v9).
De quelle vie parle-t-on ? Celle de l’homme à guérir ou celle de Jésus, suspectée, menacée (v7 et 11) ? Les scribes et les pharisiens n’entendent pas.
La haine rend sourd. Qui saura percer l’abcès de la haine pour libérer l’espace où accueillir la parole de vie ?
Un commentaire
Très beau dessin, merci, Sr Valérie, ainsi que pour les autres ….