Deux femmes se rencontrent : l’une vierge, l’autre stérile ; enceintes toutes les deux par l’action merveilleuse de Dieu. « Car impossible à Dieu rien ne sera qui fut dit » (Lc 1, 37 traduction Ignace de la Potterie, in « Marie dans le mystère de l’Alliance, Ed Desclée 1988).
Elisabeth semble avoir eu du mal à y croire, se tenant « cachée cinq mois durant » (Lc 1, 24). Tandis que Marie se lève et se hâte vers le signe qui lui a été donné : Elisabeth, dans sa vieillesse, a conçu un fils (Lc 1, 36). Marie sort Elisabeth de son anonymat ; Elisabeth reconnait en Marie une autre bénie de Dieu (v42).
« Oui bienheureuse celle qui a cru en l’accomplissement de ce qui lui a été dit de la part du Seigneur ! » (v45). Ecoute, entends et crois ! « Car impossible à Dieu rien ne sera qui fut dit ».
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