Assomption
La joie nait de l’émerveillement de la proximité de l’Eternel (v42.44.47).
La joie nait de la contemplation de l’action de Dieu (v49-54).
La joie nait à l’intime de la rencontre de deux femmes, l’une stérile et l’autre vierge, pourtant enceintes, se témoignant l’une à l’autre du miracle de la vie.
La joie nait d’une traversée, de la vie relevée de la mort : « Car à Dieu rien n’est impossible » (Lc 1, 37).
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