Que veux-tu que je fasse pour toi ?
Nous avons tous quelque chose à compenser ; certains plus que d’autres. Rendre la vue à un aveugle, il y a de quoi célébrer les louanges de Dieu (v43).
Dieu peut tout mais il a choisi de n’être pas sans nous. Infiniment respectueux de notre liberté, sans violence, il s’approche de nous, attendant patiemment que nous l’appelions à l’aide (v38.39).
Dieu ne fera rien sans nous ; il espère notre vouloir : « Que veux-tu que je fasse pour toi ? » (v41). Il ne s’agit pas que l’un s’accorde au vouloir de l’autre ; mais que cheminant ensemble, nous construisions un vouloir commun.
Un commentaire
Construire un vouloir commun en cheminant ensemble…
Oui cela me parle :
c’est en créant du lien que nous apprendrons à nous accueillir différents et à choisir de partager notre vie dans ce qu’elle a de plus grand et de plus beau.