Tous ceux qui sont malades, rejetés par la société, considérés comme maudits ou punis par Dieu, osent s’approcher de Jésus pour recouvrer leurs santé et dignité.
Quel abime entre la pensée de Dieu et la nôtre, entre sa miséricorde sans limites et la notre si limitée!
Lépreux, malades, nous le sommes tous, d’une facon ou d’une autre, visible ou cachée !
Qui est notre médecin? A qui allons-nous courir pour crier au secours?
« Seigneur, si tu le veux, tu peux … » Quel cri de foi et de confiance! Un cri qui a pénétré avec force le Cœur de Jésus et a suscité sa compassion agissante : » Je le veux, sois purifié. »
Le réel de ce lépreux s’est transformé et illumine! Il a cru, et la grace lui a été accordée !
Du fond de mon réel, parfois dur et lourd, je crie vers Celui « qui peut tout », Celui qui, sans prendre ma place, demande ma confiance pour qu’il puisse agir et transformer.
Oui, il n’est jamais trop tard! Jésus est TOUJOURS là, mendiant un peu de foi de ma part. Avec la petite Thérèse rappellons-nous toujours : « On n’a jamais trop de confiance dans le Bon Dieu, si puissant et miséricordieux! »
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