Au fondement
Reconnaître l’arbre à ses fruits (v43-44) nous invite au discernement. « C’est du trop-plein du cœur que parle la bouche » (v45). C’est un indice supplémentaire pour, en ce mois de rentrée, faire le point.
D’où je parle ? Comment j’écoute (v48) ? Quelle parole m’habite en profondeur et me donne d’agir (v47) ? Quel est le fondement de ma vie, de mon être ?
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