Le premier lieu saint, dans la Bible, n’est ni l’arche, ni le temple, ni Jérusalem, mais le septième jour, le sabbat ; où Dieu ne se repose pas, au sens commun du terme, mais change son mode d’activité : De Créateur, il devient « veilleur du bien ». Ainsi à la synagogue, Jésus incarne la bienveillance de Dieu qui tranche (v6 et 9).
L’homme à la main sèche se tient debout au milieu… Au milieu de quoi ? De la ligne de partage entre bien et mal (v9 Cf Gn 2,9), entre bienveillance et malveillance, entre bienfaisance et malfaisance (v10-11) ?
Un commentaire
Merci chère Valérie pour ce funambule, et cette parole de vie « au milieu », parole tranchante qui met en relief la brèche de notre discernement et de notre agir.