Quel épisode fantastique ! avec une légion de démons, tout un troupeau de porcs précipités dans la mer, une foule curieuse de l’événement mais finalement peut désireuse d’accueillir Jésus (v17).
« Je t’adjure par Dieu ne me tourmente pas » (v7), supplie l’homme possédé qui, en fait, se tourmente lui-même (v5). Jésus ne fait rien d’extraordinaire : il passe, dialogue avec l’homme, accède à la demande des démons (v8. 12-13) et poursuit son chemin (v18). Il ne demande rien, ne s’impose pas. Sa seule présence est source de libération.
A la suite de cet homme, peut-être, puis-je discerner, en présence du Christ, quel tourment lui demander de rejeter à la mer ? et prendre conscience de ce que le Seigneur fait pour moi dans sa miséricorde ?
Un commentaire