« Le joug du Seigneur est suave et léger, lorsqu’on l’accepte, on sent aussitôt sa douceur… » (MC16°r)
Voilà comment Thérèse de l’Enfant Jésus, à la fin de sa vie, comprend ce passage de l’évangile de Matthieu 11,30
Ce que Thérèse ajoute au texte évangélique, c’est : « lorsqu’on accepte ».
Souvent nous considérons ce qui nous arrive dans la vie comme un poids, et nous nous plaignons. Mais si nous ouvrons les yeux ou si nous regardons bien pour comprendre à quoi sert le joug et comment il est placé, nous nous apercevons que c’est une aide. Pour cela, il y a un point d’équilibre à trouver. C’est tout un art, un apprentissage persévérant et courageux.
Où se trouve notre point d’équilibre ? Où est notre acceptation ?
Pour moi, aujourd’hui, c’est de m’abandonner au don gratuit de Dieu et accepter le repos que Jésus m’offre et nous offre, et faire confiance à sa grâce.
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