Dans ce passage, il nous est demandé d’aller à contre-courant, c’est-à-dire d’œuvrer toujours plus pour la paix, là où nous vivons.
Rien ne sert de chercher l’extraordinaire, mais de faire le peu que nous pouvons pour témoigner que le dialogue, l’entente peuvent toujours exister.
Le Seigneur fait tomber la pluie sur les justes et les injustes, c’est le signe que chacun reçoit semblablement. Il nous invite à entrer sur ce chemin de croire que nous pouvons avancer de la simple entente cordiale à l’amitié fraternelle, car par la prière, nous le laisserons travailler nos cœurs pour aimer et pardonner à toute personne.
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