« Beaucoup viendront de l’orient et l’occident et prendront place à table »
Deux conditions pour y arriver une conversation authentique avec Jésus qui conduit à une guérison profonde.
Le centurion s’approcha de lui et le supplia : «Seigneur, mon serviteur est couché à la maison paralysé et il souffre terriblement.»
Nos conversations quotidiennes débouchent- elles sur une source de guérison ?
A table, au moment de nos recréations, entre nous, dans notre apostolat avec les personnes que nous côtoyons….
Aujourd’hui nous sommes aussi paralysés et nous souffrons terriblement :
Par des situations de maladies physique, psychique psychologique que vivons nous-mêmes, dans nos communautés, nos familles, nos apostolats…
Par le manque de patience envers nous-mêmes et envers les autres. Par la difficulté d’accueillir notre vulnérabilité et la difficulté d’autoriser l’autre à manifester sa vulnérabilité.
Par la recherche du pouvoir, de l’avoir et du paraitre à tout prix….
La famine qui tue plus que la maladie
La guerre avec ses conséquences destructrices en Israël, Palestine, Ukraine, Liban, l’est de la RDC soudan du sud pour ne citer que ça…, la violence sous toutes ses formes, les catastrophes naturelles : inondation, sècheresse…
Jésus répliqua : « je vais moi-même le guérir » l’Emmanuel « Dieu avec nous » vient lui-même nous nous guérir, nous sauver de tous ces maux.
Avons assez de foi et d’espérance pour dire à ce Dieu proche, présent et permanant comme le centurion : « je ne suis pas digne mais, dis seulement une parole et je serai – il -elle sera et nous serons – guéri-s ?
Sr Scholastique, communauté de Lubumbashi-Kerith, CONGO RDC
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