Matthieu 9, 1-8

 

Jésus donne à voir par la remise en mouvement du paralytique (v 6-7), ce que le pardon offert a fait au niveau du cœur (v 2) : délié, libéré d’un poids, « dégagé, mis au large » (psaume 17,20).
Si nos cœurs restent fermés dans nos « oui, mais… », nos jugements (v 3), le Seigneur entends : « Pourquoi ces mauvais sentiments dans vos cœurs ? » (v 4). Sa question invite à n’en pas rester là.
« Si notre cœur venait à nous condamner… Dieu est plus grand que notre cœur, il connait tout » (1 Jean 3,20).
Tourne-moi vers toi, Seigneur, (peut-être en me laissant porter par d’autres, quelque fois) que je puisse te donner mon cœur.

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