La différence de pratique entre le groupe des disciples de Jean, des pharisiens et de Jésus soulève une question. Mais la différence est surtout entre ceux qui ont reconnu l’Époux et ceux qui ne l’ont pas reconnu. Dans la tradition juive, le jeûne marque le deuil, L’absence, le manque.
En ce début de carême, comment allons-nous orienter notre jeûne pour qu’il soit l’espace de ma recherche de l’Époux du cantique ? « Dans les rues et sur les places, je chercherai celui que mon coeur aime » Ct 3, 2
Un commentaire